Je souhaite explorer une nouvelle voie et apporter quelques critiques à quelques uns de mes frères muʿtazila. La communauté musulmane actuelle est assez conformiste, et pour le peu qu’un pratiquant fasse quelque chose d’inhabituel ou d’inattendu, il se sent obligé de justifier ses actes, quand bien même personne ne lui demande quoique ce soit.
Pour le peu que certains acceptent de débattre, le pointillisme exacerbé de juristes et de comptes d’apothicaires commence. Le mot qui revient le plus souvent alors est dalîl (preuve).