Depuis le mois de décembre 2010, nous assistons à une série de soulèvements populaires visant, à défaut de véritables réformes sociopolitiques, à l’instauration de nouveaux régimes à vocation démocratique.
Ce mouvement « panarabe » a des origines plus lointaines et plus profondes qu’on ne le pense, mais il n’est pas dans mon propos d’en étudier la genèse aujourd’hui. Dans un souci de libération et pour prendre le contrôle de leurs propres existences, des peuples se sont soulevés.