En marge d’une formation que j’assurais aujourd’hui à Paris, deux jeunes femmes pédopsychiatres sont venues me demander si je voulais bien intervenir auprès de jeunes, en tant que philosophe, pour évoquer la question de l’engagement.
Cette demande m’a fait réfléchir sur cette notion, et en particulier sur la difficulté de certains à s’engager auprès du mutazilisme, ou du néo-mutazilisme comme il est souvent désigné. Pourtant, ce n’est pas le manque d’enthousiasme pour ces idées qui fait défaut. Je le vois régulièrement par les mails que je reçois, ou encore les témoignages divers et variés, sur le web comme dans le quotidien.