As-salamu ‘alaykum. En ce deuxième jour d’Aïd al-Fitr, je souhaite vous présenter mes vœux les plus sincères de bonheur et de réussite pour l’année à venir (au moins). 

Que Dieu agréé vos efforts et votre jeûne. Prions pour que certains de nos problèmes commencent à trouver des solutions, ce qui ne sera possible que si nous y mettions du nôtre.

Que Dieu affermisse nos esprits dans ce qui est bon, bien et juste ! Que la sagesse et le discernement regagnent la place qu’ils n’auraient jamais dû perdre.

Du’a :

Ô Dieu accorde-nous refuge auprès de Toi contre les maux de nos âmes et nos mauvaises actions ! Accorde-nous Ta compassion, Ta clémence, et Ta miséricorde ! Donne-nous la force de nous ouvrir à la compassion, à la clémence et à la miséricorde ! Perfectionne notre raison pour qu’elle nous guide avec justesse vers ce qui est juste et bon pour tous ! Aide-nous à discerner le vrai du faux ! Fais de nos paroles et de nos actions des signes de Ta guidance ! Ô Dieu augmente notre savoir ! Ô Dieu augmente notre savoir ! Ô Dieu augmente notre savoir !

Fais de nous des aides aux justes et un rempart face aux iniques ! Accorde Ta clémence aux innocents qui font retour vers Toi, et ceux qui nous ont précédé dans la foi ! Ô Dieu accorde ta clémence à nos parents, nos aïeux, nos maîtres, nos imams et aux justes d’où qu’ils soient et qui ont déjà fait retour vers toi ! Ô Dieu fais du Coran notre guide en cas de doute, et une lumière dans les ténèbres !

Tu es l’Unique à qui Il n’est rien de semblable ! Tu es Le premier, Il n’y avait rien avant Toi ! Tu seras Le dernier, il n’y aura rien après Toi ! Tu es Le Manifeste, il n’est rien au-dessus de Toi ! Tu es l’Esotérique, il n’est rien sans Toi !

Nous prenons refuge en Toi et nous nous repentons de ce que nous aurions pu commettre consciemment ou par mégarde. Que la paix soit sur Tes envoyés ! Louanges à Toi, Ô Dieu des mondes !

« Dieu ordonne la justice, le bel-agir, la libéralité envers les proches. Il proscrit la turpitude, le blâmable, la démesure. Il vous sermonne, attendant de vous que vous méditiez. » (16:90)