Nous avons vu dans un précédent article que ce que l’on traduit par loi divine (sunnat Allâh) n’est pas seulement une loi qui n’aurait pour but que de nous asservir dans une condition immuable sans possibilité de changer, mais que cette loi, par son étymologie arabe, inclurait l’idée de formation et d’aiguisement.
C’est comme si l’Homme, en s’appropriant cette loi, cette nécessité de se perfectionner, l’incorporait à lui-même et ainsi devenait autonome pour créer de nouvelles lois.